vendredi 22 octobre 2021

Vers la fin de sa ''mésaventure'' au CoNor-FIF : Dao Gabala veut plagier une idée de Feu le Président Sidy Diallo

 

Feu le Président Augustin Sidy Diallo a tiré sa révérence le 21 Novembre 2020 des suites de complications liées à la Covid-19, contractée quelques jours plus tôt. En pleine période pré-électorale alors que les acteurs du football ivoirien s'attendaient à élire son successeur, ses dissidents, financés, aidés, inspirés et accompagnés par des mains noires ont manœuvré pour mettre en péril le processus électoral qui suivait son cours. Avec pour couronnement, cette ingérence indigeste de la faîtière mondiale. Non seulement, la FIFA du président Gianni Infantino se positionnait avec un parti pris auréolé d'un zèle et d'un mépris absolu des textes du statut et des règlements (pourtant autrefois adoptés avec sa bénédiction et sous l'onction de ses observateurs dépêchés pour l'occasion sur Abidjan en son temps aux côtés du président Jacques Anouma). Matérialisée par l'annonce d'un comité de normalisation, alors que rien ne le justifiait, puis installé à la mi-janvier 2021 avec ses ''trois'' missions principales qui devaient consister dans le toilettage des textes, la modification de certaines parties, la mise en place d'un nouvel organe d'organisation des élections et avec pour point d'orgue l'organisation de l'Assemblée Générale Élective pour enfin libérer le plancher au plus tard le 31 Décembre 2021.

Or, que constatons-nous avec Dame Dao Gabala depuis son parachutage à la maison de verre? Que de stratagèmes, de faux-semblants, de manœuvres dilatoires doublées de farces et d'invocations de prétextes fallacieux et d'alibis incohérents pour gagner du temps et servir de la poudre aux yeux des membres actifs, qui pour certains sont excédés d'assister à ce jeu macabre de la présidente du CoNor-FIF, qui pour d'autres (ceux qui s'en enorgueillissaient et qui jubilaient à son imposition par Infantino à la place du comité exécutif élu de la FIF) déchantent amèrement et peinent à masquer leur consternation face à l'allure où va cette pseudo normalisation. Se rendant compte bien trop tard qu'ils se sont faits avoir par les discours moralisateur et accusateur de PERSONNES qui n'attendaient rien d'autre que de saisir des occasions pour faire triompher leurs intérêts personnels, pour se dégoter des postes etc. Les arguties qui avaient été agités pour vouer aux gémonies l'ex comité exécutif se sont effondrés comme beurre au soleil, laissant les pro-CoNor abusés et médusés. 

Sur la fin de sa ''mésaventure'' comme dans Wangrin de Bernard Dadié, Dao Gabala est vomie par le milieu du football, elle se sent en perte inéluctable, incapable de satisfaire les desseins ignobles de ses ''employeurs'' d'éliminer Sory et Idriss au profit d'un poulain trop fébrile pour tenir la course, ce GÉANT annoncé mais ramené à son nanisme sur le terrain, sur le théâtre des opérations. Dao Gabala, promise le temps d'un doux rêve caressé par son mentor Danho Paulin et son conseiller au carrefour de M'Pouto, sonnée K.O debout par le ministre Amichia, président du COCAN, ramené à sa vraie expression de ''parvenue'' dans le football ivoirien, tentera becs et ongles de s'accrocher aux basques de la FIF, ruminant sa VENDETTA en retardant au maximum les échéances électorales pour élire le prochain président de la FIF. Atteinte, Dao Gabala n'a plus la main, et pour montrer un air de faux-semblant de tenir la barque, elle vise le personnel de la FIF. Et comment, Madame va agiter le personnel comme l'on ferait avec des épouvantails désuets avec une cérémonie hautement pompeuse et cynique de récompense intéressée et de décoration hypocrite qu'elle s'apprêterait à décerner à des femmes braves et des hommes dignes qu'elle ne connait pas...

Il n'y a pas d'étrangers à la FIF, à part bien sûr Dao Gabala et ses sbires, là où tout le monde sait que feu le Président Sidy avait promis avant son départ de la FIF remercié tout son personnel en lui décernant des décorations pour services rendus pendant ses mandats électifs. Quand on s'était empressée de décrocher le portrait hommage d'un grand président comme ASD, on devrait s'empresser moins de lui voler son idée à titre posthume pour espérer grapiller un capital image en détresse. Madame Dao Gabala, nous nous réjouissons, faites comme le Président Augustin Sidy Diallo faisait avec son personnel qui lui a permis avec son équipe vaillante d'hommes et de femmes de valeur de remporter deux CAN. Car c'est ce qui est bon. C'est son idée, réalisez la. Et si vous ne le savez pas aussi, El Capo (c'était son sobriquet préféré) disait : " Tout s'épuise, sauf le bien que l'on fait autour de soi..." Retenez!

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