jeudi 26 mai 2022

Sory Diabaté rassemble son ''gbonhi'', ça tremble à la FIF déjà



 Le 23 avril 2022, l'A G Élective de la FIF  à Yamoussoukro sous le comité de normalisation a donné gagnant Idriss Diallo et des caciques du GX, d'anciens de l'ex comité exécutif devenus des saboteurs des actions du président Sidy Diallo. Ces élections, loin du ''fair play'' sportif, étaient d'une animosité sans pareille montrant la bassesse, l'ignominie et la fourberie de certaines gens du milieu, de décideurs d'organes internationaux et de vassaux installés et commis à la besogne. Les élections terminées, le camp Sory s'est retrouvé, 1ère rencontre depuis la défaite, le temps d'échanges intenses en émotions, de paroles fortes et surtout de bilan aux termes des élections. Ce fut l'occasion aussi d'envisager et de tracer les sillons d'un avenir radieux pour tous ces acteurs passionnés et amoureux du football. 

Loin des récriminations et des accusations fortuites, c'est un Sory Diabaté debout, fort comme jamais qui s'est présenté à ses soutiens, assumant la plénitude de la responsabilité de la défaite aux élections : " L'objectif de cette rencontre n'est pas de faire le procès de qui que ce soit. On a constitué une famille forte, restons positifs, la vie ne s'arrête pas à cette élection. Nous avons perdu, mais nos statistiques étaient bonnes; nous avons 40 (plus 1 groupement d'intérêt) clubs sur 76, donc plus de 50 % la moitié des membres actifs''. De quoi soulever des supputations, des interrogations sinon bien plus : des inquiétudes dans le camp d'en face.

Effectivement, quand Sory a avec lui 41 membres actifs, soit 50 % plus 1, il y'a de quoi faire peur car  cela représente une vraie force à troubler le sommeil des nouveaux occupants de la FIF. Et comme il fallait s'y attendre, cela n'a pas échappé aux ex pontes et parrains du GX et aux sbires du nouveau président élu Idriss Diallo. Devant la force qu'il représente, quand Sory Diabaté rassemble son ''gbonhi'', ça tremble à la FIF déjà. A quoi peut-on s'attendre? Retour de flammes? Retour à l'envoyeur? Selon un bon vieil dicton local : ''Ce qui a tué Nakraka, c'est la même chose qui va tuer Nakroko''. Le GX, ses parrains, des financiers jusqu'aux conseillers occultes qui ont tous saboté, manœuvré à la déstabilisation de l'ex comité exécutif sont prévenus : la ROUE tourne..... Pour ou contre qui? Les jours à venir nous situeront.

mercredi 25 mai 2022

FIF-Nominations (1) : Armand Gohourou, le ''tonneau vide'' parachuté Directeur Exécutif



                    Armand Gohourou faisait beaucoup de bruit au GX, or c'était un tonneau vide

Armand Gohourou, apparemment un illustre inconnu. L'homme est devenu par un concours de circonstance fortuites président du club de 3è division du village de Didier Drogba : Agir de Guibéroua. Par un jeu d'intérêt lugubre, il décide d'aller soutenir Idriss Diallo. Ensuite, il se mue en soufife des pontes et des parrains du funeste G42 (défiguré en GX) lors de la tentative de coup d'État contre Sidy Diallo fin 2017. Puis devient un des portes étendards pour ne pas dire le dindon de la farce de toutes les manœuvres de déstabilisation contre l'ex comité exécutif. Il fait partie de la délégation qui est allée porter plainte contre Sidy Diallo à la FIFA en Suisse en mars 2018 en compagnie de Roger Ouégnin, Malick Tohé et Gondo Pierre etc. Il fait le combat du GX, manipulé et instrumentalisé il vocifère, attaque, peste et vilipende jusqu'à savourer publiquement l'installation du comité de normalisation à la FIF par la FIFA-CAF sous ordre d'Infantino.

Désormais, Armand Gohourou jubile, l'avènement du CoNor-FIF, dit-il, est l'aboutissement de leur lutte depuis 2017. Contre vents et marrées, Sory perd de 2 points les élections. 23 avril 2022 Idriss Diallo est élu : le GX, le parrain, le ponte, le manitou, les têtes fortes et Armand Gohourou en fait partie sont contents, heureux de parachever la déstabilisation et le coup d'État commencé 6 ans plus tôt et qui a abouti, bien aidées par la FIFA, la CAF et Dao Gabala et sa normalisation. Tel un butin de guerre, l'heure du partage du gâteau sonne : les postes de nominations à la FIF.

Armand Gohourou est parachuté au poste stratégique de Directeur Exécutif de la Fédération Ivoirienne de Football. A première vue, on dirait circulez, il n'y a rien à voir. Sauf que non. Il y'a bel et bien un hic. Le poste de directeur exécutif de la FIF n'est pas un poste de nomination, c'est un poste de recrutement. Cela signifie qu'il obéit à un descriptif de la fiche de poste avec un profil recherché pour les candidats qui font acte de candidature. Et là où le bat blesse, c'est que le Sieur Armand Gohourou ne remplit pas le moindre critère du profil de ce poste. Ce serait peu de dire que l'homme est un analphabète moderne : Armand n'a aucun niveau ni aucun diplôme. Pis, il n'a jamais travaillé dans sa vie, lui-même se définissant et se présentant comme ''PASTEUR'' 'alors qu'il n'a fréquenté aucune école pastorale digne de ce nom). Armand Gohourou n'a jamais occupé aucun poste similaire ni dans l'administration ivoirienne, ni ailleurs, il n'a pas les aptitudes, encore moins les compétences pour endosser le costume de directeur de l'administration de la FIF. En somme, Armand Gohourou est tout sauf l'homme qu'il faut à cette place importante si ce n'est qu'il est rétribué par Idriss Diallo comme le fou du roi. 

Tout de même, plus inquiétant et risible, on apprend de sources internes concordantes que le Directeur Exécutif par défaut de la FIF serait très tôt fait remarqué par ses carences notoires en termes de connaissances de l'administration, ses limites intellectuelles et capacitaires à produire des documents administratifs nécessaires au bon fonctionnement de la FIF. A telle enseigne que ses parrains voudraient voler à son secours en mettant dans ses bottes un ''connaisseur'' et un ''compétent'' en administration qui ferait office d'homme lige pour lui pour camoufler et masquer sa médiocrité. Pour combien de temps? Quand on veut distribuer des postes comme un butin de guerre après une victoire sur fond de déstabilisation et de coup d'État, voilà le résultat : avoir un directeur exécutif incompétent, sans niveau, d'une indigence intellectuelle pitoyable comme figure représentatrice de la fédération d'un pays comme la Côte d'Ivoire qui a connu des personnalités du niveau des Silué Nomogo, Dominique Diagou, Sam Étiassé... A côté de ceux-là, Armand Gohourou fait figure de ''TONNEAU VIDE'' qui fait bruits.