mardi 23 novembre 2021

Dao Gabala CoNor-FIF: d'une gestion scandaleuse en fin de sa mission à la désillusion totale des acteurs

De sa prise de fonction jusqu'au RDV avec le PRADO, Dao Gabala n'a fait que duper son monde.

14 Janvier 2021, après l'annonce puis son installation par la FIFA (représentée par Mosengo Veron, Sarah Solémalé), toute l'histoire de dame Dao Gabala à la tête du Comité de normalisation avec ses autres membres n'a été qu'une suite d'arnaques morales et de compromissions douteuses. (Voir lien : https://www.youtube.com/watch?v=5-0OWAds__E) Conférence de presse de Dao Gabala sur les missions du CoNor-FIF 14 Janvier 2021

Les 4 missions présentées par Dao Gabala en un peu moins de 2 minutes chrono ce jour là, une bonne partie de l'opinion, ses mandants et nombre de membres actifs du football ivoirien (au delà même, certaines autorités du pays) se sont laissés abusés et servir moult manœuvres dilatoires et de manipulations sous le sceau frêle et flegme de la voix pseudo-angélique de cette bonne vieille p'tite dame. Si certains esprits légers auraient donner leurs mains à couper ce jour là, notre esprit critique nous avait tôt recommandé de ne pas trop encenser ni tomber dans une crédulité béate devant Dao Gabala qui était précédée d'une réputation sulfureuse et d'une renommée douteuse déjà qu'elle aurait traîné des casseroles bruyantes. Soit!

Tous comptes bien faits, 11 mois se sont écoulés presque sans rien voir de concret ni de positif dans l'avancement des chantiers où on l'attendait, c'est à dire la bonne gestion courante de la FIF, la modification de parties des statuts en lien avec les élections, la nouvelle commission électorale puis in fine l'organisation des élections du nouveau président de la FIF, légal et légitime; au lieu de ces 4 missions, Dao Gabala a savamment servi de la bouillie du cœur aux membres actifs, détournant (avec force complicité de parrains et conseillers occultes) le regard et l'esprit des acteurs du football ivoirien de ce qui cadrait et rentrait dans la feuille de route de sa MISSION à lui confiée par la FIFA d'Infantino et la CAF d'un Motsepe néophyte. Ensuite, quand Dao Gabala jurait la main sur le cœur devant le 1er magistrat de Côte d'Ivoire, son Excellence le président Alassane Ouattara, que son mandat finirait fin décembre et qu'elle organiserait les élections du successeur de feu Sidy Diallo le 18 Décembre, or donc elle ''enfumait'' même le PRADO. Sacré culot!

10 mois durant! Dao Gabala a parlé. Dao Gabala a fait des réflexions d'experte (sic!). Au finish, rien, nada! Ses manipulations et ses controverses n'ont abouti qu'à la montrer sous son vrai visage: Mariam Joséphine Gabala épouse Dao est une A-R-N-A-Q-U-E! La plus grosse et ténébreuse qu'ait connue le football ivoirien de toute son histoire connue jusque là. Dao Gabala n'est plus digne de continuer à la tête de la FIF, elle a menti, elle a trompé, elle n'a rien fait. Incapacité et incompétence in-volontaires ou sournoises? Le fait est qu'elle s'est prise et continue de s'éprendre de rêveries solitaires dans le bureau du 3è étage de la maison de verre à la place du président élu de la FIF. Désormais, cette ex gérante  d' ONG de projets pour les femmes, empêtrée il n'y a pas si longtemps dans des scandales financiers rocambolesques devant la justice ivoirienne avec son mari impliqué, a trouvé en la FIF son ''matelas douillet de confort et de fortune'' pour enjoliver ses jours de vieillesse. En témoignent son grand train de vie et celui de ses ami(e)s qu'elle a embauchés à tour de bras à la Fédé. Au grand dam des projets du football ivoirien, des membres actifs désabusés et de milliers de pauvres jeunes gens qui vivent l'enfer sous le CoNor. Le contrat de ''dupes'' qu'a servi Dao Gabala tout ce temps est devenu obsolète et caduc.

Si on peut d'ores et déjà prévoir des heures et des jours plus sombres à venir pour le ballon rond en CI, les échecs de Dao Gabala cumulés aux mauvais résultats de la sélection nationale et de nos équipes sorties de championnats médiocres en sont des signes révélateurs. Et pour servir un remède pire que le mal, la panacée magique toute trouvée par Dao Gabala serait une prolongation des souffrances, des incertitudes et des atermoiements chaotiques comme pendant sa gouvernance illégitime et anormale. Hélas! Le voile du mythe de la dame au ''modibo'' sur le crâne s'est littéralement déchiré, montrant ses limites et ses incartades là où vertu, sagesse et mesure de sa part auraient renforcé un tant soit peu son manteau de respectabilité. On emboucherait mordicus Michel Embareck, dans La mort fait mal "Autant dire, intox, bidon, pipeau et couille de loup dans le jargon professionnel". Le mot d'ordre est sans ambiguïtés : membres actifs, dégagez Dao Gabala par tous moyens qui s'imposent de la FIF. Et sans délai!


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