mardi 25 février 2020

SIDY DIALLO VA LANCER L'APPEL DE BASSAM

Ces dernières semaines, les rumeurs les plus folles ont circulé dans le milieu du football ivoirien. Laissant parfois l'opinion et les acteurs baigner dans un flou qui a alimenté les fake news.
Face à tout cet imbroglio engendré puis relayé ces derniers temps, le président Augustin Sidy Diallo décide d'aller au devant de la scène en prenant le taureau par les cornes. Et va faire les choses dans les règles de l'art.
En effet, ce samedi 29 Février 2019, depuis la mythique station balnéaire de Grand Bassam, le président Sidy invite ses pairs et mandants, les présidents de clubs et de groupements d’intérêt à une importante rencontre d'information et d'échanges. Dans un face à face. Sans gants, ni filtres.
Au menu, sans doute, seront passées au crible toutes les questions d'actualité relatives à la fin de mandat du président himself, de sa représentativité ou sa volonté de rempiler ou pas, l'organisation des prochaines élections du président de la fédération ivoirienne de football avec probablement un calendrier indicatif, les raisons du départ du coach Kamara Ibrahim de la tête des éléphants et l'arrivée de son successeur dans un timing aussi serré que proche des deux confrontations les plus décisives contre le Madagascar pour les qualifications à la CAN 2021, la polémique autour de l'environnement des sélections nationales, l'éventuelle proposition d'un candidat désigné du comité exécutif sortant etc.
Ainsi donc,
c'est le monde du football ivoirien qui retient son souffle en attendant la rencontre de Grand-Bassam. Au sortir donc de ce conciliabule entre acteurs clés et décideurs du football ivoirien, l'on peut être sûr que Sidy Diallo va lancer ''L'APPEL DE BASSAM''. Pour sceller dans la grande famille du football ivoirien la paix des braves et tracer ses sillons vers un avenir plus radieux.

mardi 18 février 2020

COMEX DE LA FIF : OÙ EST PASSÉE LA RETENUE ?

La fédération ivoirienne de football est au centre d'une bien vilaine situation qui agace au plus haut point. A savoir, un malaise né d'un imbroglio qui ferait pâlir de jalousie un réalisateur scénariste de la trempe d'un Quentin Tarantino. Pour preuve une folle rumeur qui s'empare de la toile doublée de spéculations des plus folles, de commentaires dans tous les sens.
Des informations informelles dont ''ON'' attribue la paternité à une source interne au Comité Exécutif de la FIF qui aurait ébruité une information jusque là classée top confidentielle et pas encore publiée. Mais aussitôt divulguée. Par pure inadvertance ou cynisme hypocrite? En effet comment dans un comité exécutif digne de ce nom, des responsables de ce niveau peuvent-ils agir si maladroitement? Et laisser fuser dans l'opinion des rumeurs fondées ou non pendant des jours sans qu'aucun membre ne monte au créneau pour s'exprimer? Quel est donc le sens de responsabilité d'hommes et/ou de femmes qui président au destin du football ivoirien si une information émanant de leur instance ne peut être traitée, canalisée puis annoncée officiellement? 
La retenue, voilà ce qui a manqué dans ce comité exécutif, quitte à rechercher ''la'' taupe qui a venté l'information selon laquelle le comité exécutif réuni sous l'égide du président Sidy Diallo a voté puis décidé de remercier le sélectionneur des éléphants, coach Kamara Ibrahim. Au point de de faire des extrapolations en fabriquant de toutes pièces des querelles intestines inexistantes entre le Numéro 1 et le numéro 2 de la faîtière pour un éventuel positionnement aux élections futures de son président.
Vivement...

mercredi 12 février 2020

CAN 2023 : LE STADE OLYMPIQUE D' EBIMPE EN VIDÉO

Une visite guidée du stade olympique d' Ebimpé en Côte d'Ivoire qui, nous le souhaitons, sera prêt pour accueillir la CAN 2023 en Côte d'Ivoire.

lundi 10 février 2020

LA POSITION DE DROGBA SUR LA CAN CHOQUE T-ELLE ?

Sur le débat de la possibilité d'organiser la CAN chaque 4 ans, plusieurs légendes et ex gloires africains du football africain se sont prononcés. Didier Drogba, El Hadj Diouf pour ne citer que ces deux dont les positions affichées tranchent par leur opposition. Si le sénégalais s'est montré peu enthousiaste à l'idée d'une CAN chaque 4 ans, Drogba, lui, s'est illustré par une position surprenante en épousant quasiment l'idée émise par Infantino de proposer à Ahmad et à la CAF de passer de 2 à 4 ans.
Sous prétexte que " cela donnerait une saveur bien particulière" à la CAN, Drogba occulte sciemment tout un pan de la question.Pourquoi Drogba adopte-t-il une position pareille? Nommé récemment à la CAF, l'ex footballeur perd-t-il de vue l'intérêt supérieur du football ivoirien aujourd'hui? Sinon comment comprendre que lui qui a participé à 5 coupes d'Afrique puisse soutenir cette initiative affirmant que la rareté de la CAN constituerait un critère pour accroître sa saveur. S'il est permis d'en douter, ce n'est pas ce qui choque. Ce qui choque c'est que Drogba ait cette prise de position dans le contexte que l'on sait. Drogba doit défendre plus l'intérêt du football ivoirien et de la CAN en CI.
La Côte d'Ivoire avait hérité de l'organisation de la CAN 2021 au préalable; puis par l'effet du glissement à cause de l'indisponibilité des infrastructures au Cameroun, se retrouve projetée pour l'édition 2023. Si l'on admet un instant que cette ''réforme'' soit adoptée et entre en vigueur immédiatement après la CAN 2021 au Cameroun, la CI se retrouverait à faire une CAN en 2025 (?) là où initialement c'était prévu 4 ans avant; et quid de la Guinée? Encore qu'un COCAN à pied d'oeuvre a été mis sur pied par décret du président de la République, son Excellence Alassane Ouatarra.


CAN DES 4 ANS : VERS UN DEVOIR DE RÉVOLUTION DE PALAIS !

Depuis plus d'une semaine, l'actualité continentale du football tourne autour de la question de changement de périodicité de la CAN. Ainsi, la CAN pourrait définitivement avoir lieu chaque 4 ans. Avec en prime le retour de la compétition en Janvier après qu'on ait vendu à l'opinion la ''fabuleuse'' idée que le meilleur moment pour l'organiser était l'été (?). Ce soi-disant 'été africain', qui éviterait d'exposer les footballeurs africains, notamment les professionnels évoluant dans les championnats occidentaux,  aux conflits liés à la question de leur libération par leurs clubs.
Pour ce faire, lors d'un symposium organisé à grands frais et en grande pompe par le comité exécutif d'un Ahmad Ahmad nouveau président de la CAF, des légendes et des ex gloires du football ainsi que des journalistes, spécialistes et experts en tout genre ont justifié, en suant sang et eau que ce changement était la meilleure chose à faire pour  la réussite de la CAN et le développement du football sur le continent.
Or, que constatons nous aujourd'hui? Qu'est ce qui est en train de se passer entre la FIFA d'Infantino et la CAF d'Ahmad? Sinon, comment comprendre ces prises de position ambiguës de légendes de notre football qui s'apparentent davantage à un senatus consulte ?
Ceux que la CAF et la FIFA nomment ambassadeurs du football, techniciens lors de missions de supervisions et/ou d'inspection, hier qui saluaient une décision historique de haute portée de changer la date à laquelle se tenait la CAN, les mêmes experts en voltiges idéaux sont utilisés aujourd'hui encore pour nous faire une pommade double : soutenir et entériner l'inféodation de la CAF sous tutelle de la FIFA, saupoudrer et manipuler l'opinion africaine sportive pour lui faire avaler la pilule de sa CAN chaque 4 ans, qui plus est, de nouveau ou à l'ancienne en Janvier-Février. En pratique, si la cabale planifiée et orchestrée passe comme lettre à la poste, l'annonce aussitôt faite et adoptée avant ou pendant la CAN 2021 au Cameroun, c'est al Côte d'Ivoire qui risque de voir l'organisation de sa CAN, initialement prévue pour 2021, se tenir ''possiblement'' à l'horizon 2025 et pour la Guinée ''probablement'' en 2029.
Voilà la double mission, disons la sale besogne qu'auraient décider de jouer contre l'Afrique des fils à ELLE sans trop de scrupules, plus attachés à leurs intérêts nombrilistes qu'à l'intérêt supérieur du football d'Afrique. Car désormais une nuance claire et nette s'impose, la nouvelle frontière entre un football africain dont les pseudo avantages sont exhibés comme un épouvantail désuet, se démarque du football d'Afrique qui pense continent, qui pense intérêt général supérieur des joueurs et des peuples africains.
La CAN n'est pas la Coupe des nations d'Asie, ni la Copa América encore moins la Coupe d'Europe des Nations. La CAN, ce sont ces moments d'intenses émotions que vivent plus d'un demi milliard de femmes, d'hommes, d'enfants et de jeunes qui veulent dans un élan patriotique voir leurs stars, leurs idoles défendre le drapeau de la nation. Et si changement de périodicité il devrait y avoir, cela devrait innerver de l'intérieur, à l'initiative propre et indépendante des seuls africains. Pas une injonction, fût-elle la plus belle pensée du siècle, d'un individu contre un continent. Qui a commis pour seule faute l'inadvertance de n'avoir pas su faire barrage à temps à la ruse et la malice de gens sans foi ni loi qui ont usurpé les rênes de la CAF, et qui, aujourd'hui en véritables suppôts, sont en train de la ''BAZARDER''. Tout bien considéré, le temps de l'appel des consciences vient.
Le temps de l'appel des consciences marche !
Le temps de l'appel des consciences court !
Le temps de l'appel des consciences vole !
Vers un devoir de révolution de palais de "Nôtre" CAF pour ne pas qu'elle soit ''Leur'' CAF.