jeudi 30 septembre 2021

Dao Gabala du CoNor-FIF donne des faux chèques en ''bois'' à des présidents de clubs

💥 Explosif! La présidente du CoNor-FIF Dao Gabala a donné des faux chèques en ''bois'', comme on le dit dans le jargon, à des présidents de clubs. C'est ahurissant pour être souligner. En effet, sans avoir consulter son service de comptabilité ni le gestionnaire du compte de la FIF, elle a cru bon tourner en dérision ces présidents. Alors qu'ils croyaient rentrer dans leurs dûs, comme promis par la présidente Dao Gabala peu avant l'Assemblée Générale du 18 septembre dernier, ils se sont vus opposés un refus et une humiliation à la banque pour défaut de paiement. La raison : Dao Gabala a donné des chèques en bois à des présidents de clubs.

💥 Décidemment, tout est sens dessus-dessous, dans la gestion du football ivoirien depuis que Dao Gabala préside le comité de normalisation; les membres actifs sont de plus en plus consternés par la gestion hasardeuse et calamiteuse de Dao Gabala, et considèrent désormais que celle qui est mise en mission par la FIFA est en train de tourner à la mésaventure la plus inquiétante qu'ils aient connu dans l'histoire du football ivoirien.

💥 Par ailleurs, Dao Gabala, présentée comme la solution, au fil des eaux se montre sous sa vrai visage, c'est -à-dire n'ayant ni la tête ni le profil de l'emploi. Visiblement, elle est complètement à l'ouest, comme un ovnis dans le football. Ne sachant même pas les sanctions de la Banque centrale encourues pour cette ''infraction'' au code bancaire. A quand les élections et la fin de la normalisation pour mettre fin aux calvaires des acteurs du foot Mme Dao ? Pour le 20 Décembre, sauf si Dao fait du Gabala encore...




vendredi 24 septembre 2021

Depuis l'AG et son implication dans le ''stadegate'' de Yakro : Dao Gabala isolée et sur la sellette

 



Si la normalisation se la coulait douce jusque-là, désormais Dao Gabala, Abé Adou et Martin Bléou et consorts voguent contre des vagues déchaînées et particulièrement voraces. Autant dire que les présidents de clubs, sans distinction de clan ou de camp, mettent la pression pour refermer la vilaine parenthèse ''normalisation'' et écourter la mission de Dao Gabala à la FIF qui a plongé le football ivoirien dans une tempête et embarqué ses acteurs dans une mésaventure digne de Wangrin de Bernard Dadié.

Le président de l'École de Football Yéo Martial EFYM, le virevoltant Ervé Siaba a chargé Dao Gabala : " Pour nous aujourd'hui, il faut sortir de ce comité de normalisation. Nous voulons aller vite aux élections. Le reste viendra''. Même son de cloche, quelques jours plus tard du côté du président de l'AS Athlétic sur une radio: '' Le comité de normalisation est un échec pour Dao Gabala et ses collègues. Ils ont échoué sur toute la ligne en étalant leur incompétence dans la gestion du football ivoirien. Nous devons aller aux élections avant de démarrer le championnat pour dégager Dao Gabala de la FIF''.
Voilà le message fort des présidents de clubs adressé aux ''plantons'' de la FIFA d'Infantino parachutés à la FIF. Et si tout le monde s'est finalement rendu compte que Dao Gabala est comme un ovnis qui a atterri à la maison de verre, pire la panacée qu'elle était censée être tel qu'agitée en Janvier 2021, s'est révélée pire que le pseudo problème qu'on a maquillé pour justifier son ''imposition''.
Loin de satisfaire ses commanditaires, en plus de présidents de clubs méprisés, à bout financièrement, ulcérés par le train de vie sénatorial de ses membres qui flambent avec les moyens normalement dûs aux clubs, Dao Gabala s'est rendue coupable, aux yeux des ivoiriens et des autorités, en s'illustrant fort maladroitement dans l'affaire du ''stadegate de Yakro''. C'est elle qui a commandé la mission de la CAF pour venir homologuer un stade qui n'est pas fini. Comble de suffisance ou mauvaise plaisanterie ?, le fait est que son action a humilié le pays tout entier. Désormais, Gabala ne peut plus manœuvrer pour prolonger son mandat, elle se sait observée, isolée et sur la sellette. La parole créatrice nous enseigne-t-elle pas ceci: '' Malheur à celui par qui le scandale arrive!'' Or le scandale est arrivé, humiliant la Nation de football qu'est notre chère patrie. V-I-V-E-M-E-N-T...

jeudi 23 septembre 2021

Crise CoNor-FIF vs Ministère : le silence ''assourdissant'' de Danho Paulin sur la ‘’bourde’’ de Dao Gabala

 



Au fur et à mesure que la crise ouverte par l’affaire du refus d’homologation du stade de Yakro couve, on en apprend au fil des eaux. Une conférence de presse annoncée en grande pompe, changée in extrémis en point presse où le ministre des sports Danho Paulin s’est illustré par une absence retentissante et un silence assourdissant, préférant livrer à la vindicte populaire Lydie Yao sa responsable de Com devant les journalistes.

Visiblement mal à l’aise face à la fronde, Danho Paulin envoie Lydie Yao et Mariam Koné à la casse-pipe. Mais d’après les justifications et les explications boiteuses, il ressort 3 vérités indiscutables :

-       👉  Danho Paulin a précipité les choses et ignorer les recommandations de la DG de l’ONS, Mariam Koné qui n’a pas réceptionné les travaux ;

-          👉 Danho Paulin se sent trahi par Mariam Dao Gabala, sa ‘’sœur’’ qu’il a proposé à la FIFA parachutée à la tête d’une nébuleuse de comité de normalisation  et qui a pris l’initiative sans le consulter ni même l’associer pour demander une homologation du stade de Yakro, alors qu’elle ne connait pas les critères et les démarches de demande d’homologation de la CAF ;

👉-         Dao Gabala qui a décidé d’agir seule, sans aviser toutes les parties prenantes est la seule responsable qui a commandé la mission de la CAF alors que les travaux ne sont ni terminés encore moins réceptionnés par l’ONS.

Comment Dao Gabala a-t-elle pu sans demander l’avis du ministre Danho Paulin, de l’ONS, des techniciens de la FIF et de la DTN et de Kéita Mamadou le manager des équipes nationales qui en savent un rayon sur les critères et la démarche d’homologation d’un stade de compétition prendre seule l’initiative d’appeler la CAF pour venir humilier la Côte d’Ivoire ? C’est Dao Gabala qui a merdé et doit désormais s’expliquer vis-à-vis des ivoiriens. Et comme on dit à Abidjan Dao Gabala a mis Danho Paulin ‘’dans pain’’.


Le ministre Danho Paulin livre en ‘’pâture’’ sa responsable de Com Lydie Yao et la DG de l’ONS Koné Mariam et ''tombe en brousse''



 La polémique sur le refus de la CAF d’homologuer le stade de Yamoussoukro continue de faire rage. Le ministre des sports Danho Paulin Claude a cru bon d’organiser une conférence de presse à son cabinet au 2è étage de l’immeuble Sogefiha au Plateau en y conviant les médias et les journalistes. Mais à cet important rendez-vous, les journalistes venus nombreux pour interroger et comprendre les faits vont vite déchanter ; la raison, le 1er responsable des sports en CI a tout simplement disparu des lieux. Constat amer, l’homme, d’habitude si alerte pour monter au créneau et prendre la parole a brillé par son absence. Du coup, c’est sa responsable de la communication, Lydie Yao qui est chargée de la tâche ingrate. En réalité, Lydie Yao ne donne qu’une lecture fade et insipide face aux journalistes médusés. Car il faut le dire, devant la gravité de la situation, on s’attendait à mieux, faute de quoi un simple mail aurait suffi.

Dans la forme, hormis les explications tortueuses, bancales et sans conviction qui ont été livrées, l’insatisfaction générale ponctuée d’un amateurisme qui flirte avec la légèreté était le sentiment général qui s’est dégagé après cette rencontre aussi furtive qu’improductive. Dans le fonds, l’amalgame le dispute à la confusion d’une communication cafouillée, bâclée avec l’assurance parfaite d’atteindre tout autre but que l’objectif recherché : au lieu de rassurer et de calmer l’opinion, Lydie Yao et peut-être encore plus son patron, qui a pris peur de répondre de sa responsabilité devant les journalistes en fuyant, n’auront réussi qu’à renforcer les accusations d’incompétence, d’irresponsabilité des supporters et d’une façon générale des ivoiriens.

Au finish, Danho Paulin a révélé son irresponsabilité en fuyant la conférence de presse pour ne pas répondre et son incapacité à anticiper et coordonner différents départements qui sont sous son autorité (ONS, FIF etc). Par-dessus tout, et c’est là-aussi une autre révélation sur l’homme, il n’a pas hésité une seule seconde à livrer en ‘’pâture’’ madame Lydie Yao sa responsable de la communication visiblement à l’ouest et la DG de l’ONS Koné Mariam qui paie elle aussi le prix fort des inconséquences d’un ministre désormais ‘’tombé en brousse’’.

mercredi 22 septembre 2021

Éléphants vs Malawi délocalisé au Bénin : Dao Gabala, seule instigatrice de l'humiliation de la CAF contre la CI



 

Décidément, plus rien ne va plus depuis l'annonce de la délocalisation du match Côte d'Ivoire vs Malawi au Bénin. La Côte d'Ivoire, grand pays de football, n'a pas de stade homologué. L'on est abasourdi, K.O. debout du côté des supporters et des amoureux du ballon rond. Qui est responsable?, le Ministre Danho Paulin, l'ONS ou le CoNor-FIF? Le Comité de Normalisation présidé par dame Dao Gabala tient une responsabilité de premier ordre dans cette situation dramatique et honteuse pour le pays de son Excellence Alassane Ouattara.

 Il faut bien convenir qu'en plus d'une communication lamentable, cafouillée et un imbroglio qui met à nu le manque d'expérience, l'amateurisme et la légèreté avec lesquels ce dossier a été géré, Dao Gabala en invitant la CAF à venir humilier la Côte d'Ivoire pour en faire la risée du monde du football a montré toutes ses limites dans la connaissance (anticipation et coordination avec toutes les parties prenantes) de la gestion du football. Le ministre Danho Paulin fuyant une conférence de presse bien embarrassante a enfoncé Dao Gabala en la livrant à la vindicte populaire. Tout est de sa faute à elle.

Dao Gabala est la seule responsable instigatrice de l'humiliation de la Côte d'Ivoire par la CAF. Car en effet comment a-t-elle pu inviter une mission de la CAF à venir homologuer un stade qui n'est pas encore achevé? Sinon quand on est rompu à l'organisation des compétitions internationales, on est censé connaître les critères d'homologation d'un stade de compétition pour éviter de commettre cet impair qui n'a d'autre mérite et éclat que d'humilier son propre pays. Et dire que c'est pour normaliser le football ivoirien qu'on a été parachuté à la FIF par Infantino et la FIFA. Où est la normalité de se saborder jusqu'à réussir l'exploit de délocaliser un match capital dans la course de nos pachydermes à la qualification au mondial 2022. Non, l'on ne devrait pas accepter cette humiliation sans y apporter des réponses fermes et fortes.

A quelque chose malheur étant bon comme dit l'adage, je voudrais interpeller les plus hautes autorités du pays, le 1er des ivoiriens en tête, à ouvrir les yeux sur le laxisme et l'incompétence, tant au niveau ministériel qu'au niveau de Dao Gabala qui a affreusement mal géré ce dossier qui nous a valu cette déconvenue et cette humiliation, pour mettre vite un terme à la mésaventure du Comité de normalisation à nous imposé. Au risque que cet incongruité n'en entraîne plus grave vu les échéances de la CAN 2023 que le pays accueille. Pour redonner sa grandeur au football ivoirien, il faut sonner la fin de la récréation du CoNor, et Dao Gabala avec.

AG de la FIF: Accusations qui tournent au ridicule le disque rayé des chants de cygnes

 



Mafia, FC Rouages, marmaille? Que n'a-t-on pas encore entendu sur l'ex comité exécutif de la FIF? De quels noms d'oiseaux ne se sont pas faits traités les femmes et les hommes, du reste de hauts responsables, qui ont appartenu au comité exécutif de feu le président Sidy Diallo? Toutes sortes d'accusations, qui vont de simples affabulations aux vues de l'esprit les plus fantasmagoriques. Pour les unes, légères, pour certaines incohérentes et d'autres tout droit sorties d'une imagination gauchement fertile digne d'un world disney pour enfants, l'on conviendra au bout de toutes ses pistes tortueuses que ces accusations finissent par tourner au ridicule leurs auteurs. Tellement le disque de leurs chants de cygnes est rayé.

 Ce que nous affirmons, d'ailleurs depuis toujours, n'a aucune commune mesure avec des tergiversations; en fait le comité exécutif y compris tous ses membres qui ont travaillé depuis la victoire écrasante et humiliante remportée face à des Bictogo et des Roger Ouégnin battus à plate couture le 10 septembre 2011 sont fiers du boulot accompli et des résultats obtenus;  mieux le bilan de feu le président Sidy Diallo sera défendu, et dignement d'ailleurs par tout le comité exécutif, à part ceux qui vont s'en dédouaner par manque de couilles bien sûr; avec à la clé la soumission au vote du quitus, confortés dans l'opinion que les membres actifs dans leur majorité sauront reconnaître le travail abattu et se sortir du piège de la normalisation anormale qui manœuvre sans vergogne pour ternir l'image du comité exécutif sortant que Dao Gabala et ses ''normaliseurs'' non élus ont remplacé à la tête de la FIF par la volonté unilatérale de Gianni Infantino de la FIFA. 

A ce chapitre macabre vient s'ajouter un tableau noir au plan local avec une nouvelle race de  champions dans la délation, le dénigrement et la fabrication des accusations loufoques qui tournent au ridicule, qu'eux-mêmes s'empressent de remodifier après s'être rendus compte de leurs absurdités. Le président Sory hante leurs esprits et leur file l'insomnie; donc pour ça ils sont au labo pour sortir des inepties pour tenter désespérément de salir l'homme, sans y arriver hélas. Ni eux, encore moins leurs commanditaires n'y arrivent, sinon pour l'heure les élucubrations de journaleux sont des bruits de tonneaux vides; rassurez vous membres actifs, avec ou sans eux, avancez! Loin des chants de cygnes!

Report du vote du quitus à l'AG : la délation contre Sory Diabaté s'essouffle


Il est souvent bon et moins hasardeux de relayer des infox n'ayant d'autre but que d' intoxiquer l'opinion sinon si les résultats d'un audit incrimine un individu (qui plus est n'était et n'a jamais encore été président de la fif) c'est pas plus bête que de le confondre en l' assignant devant les tribunaux ; au lieu de cela, c'est à un jeu macabre de désinformation que se livrent des canards de journalistes en perte de repères,, manipulés par leurs commanditaires ; à part cela, Sory Diabaté est serein et imperturbable, imperméable aux agressions et accusations abjectes, l'homme est un grand responsable qui a du vécu et de l'expérience à revendre ; à côté de lui, ceux qui hurlent font piètre figure. 

Pour votre gouverne, le vote du quitus va porter sur l'exercice 2020 sous le président Sidy Diallo, j'espère que vous savez de quoi cela retourne. Sinon si votre petite politique de placer un simple "tocard" dans le fauteuil de président de la FIF avec une feuille de route morte dictée depuis la FIFA était efficace, depuis que c'en était fini, or donc si vous pensiez qu'il n'y avait rien en face : detrompez vous vite fait. Un temps, Sory n'avait pas les moyens, après c'était on va l'écraser, une fois même on allait l'appeler pour le contraindre à son retrait après une visite pompeuse de gens venues d'ailleurs, aujourd'hui vous en êtes réduits à quoi: il sera éliminé de la course à la présidence de la FIF. Et si vous mettiez moins de zèle dans la délation contre Sory et plus d'intelligence à travailler à rallier les membres actifs...

Si tu doutes encore un peu seulement du président Sory Diabaté, demande à ceux qui s'y sont déjà frottés et piqués, OG sait, Malick Tohé est passé par là, bictogo a bu le calice jusqu'à la lie, choilio diomandé lui est tourmenté, pour son suppôt Sanh Séverin n'est pas loin ; je t' épargne de connaître ce même sort. Continuez de vous tourmenter l'esprit avec des vraies fausses ''affaires''; tantôt 6 milliards détournés, souvent ça baisse à 3 milliards jusqu'à 1 milliard ou dernièrement 300 millions, tantôt le car régie n'est pas neuf, n'est pas fonctionnel, comme Dao Gabala elle-même n'arrive plus à nier l'évidence, c'est le mécanisme de financement du car qu'on agite. 

Et après, vous ne viendrez pas tronquer l'histoire certainement pour raconter que le président Sidy Diallo avec son comité exécutif n'ont pas remporter deux coupes d'Afrique en 2013 et 2015 et quasiment doublé les subventions des clubs via les droits télé. Contrairement à ceux qui n'ont rien gagné et qui sont les ''mains noires'' des vrais fossoyeurs du football ivoirien. Pas le temps à perdre dans les petitesses de crocs-en-jambe, de critiques puériles, d'hypocrisie malsaine. Pendant que vous vous égosillez, le président Sory Diabaté est en mission aux  côtés du ministre Albert Amichia, président du COCAN, toujours à la tâche pour répondre à l'appel de la Nation comme font les dignes fils.

jeudi 16 septembre 2021

Assemblée Générale de la FIF: opération de liquidation du CoNor et de Dao Gabala?




 Une date, ce samedi 18 Septembre 2021 est prévue se tenir l'Assemblée Générale Ordinaire de la Fédération Ivoirienne de Football. Un lieu, Abidjan, la grande salle du Ministère des affaires étrangères sise au Plateau qui va servir de cadre pour abriter la rencontre entre tous les membres actifs du football ivoirien. Au-delà de tous les tralala, c'est surtout l'environnement délétère, auréolé d'une situation de méfiance et de suspicion générale née du blocage du processus électoral entamé depuis Juillet 2020 et qui malheureusement n'a pu aller à son terme, et qui s'est muée, avec la toute puissante volonté de Gianni Infantino d'imposer contre l'intérêt du pays un Comité de Normalisation en démettant de fait le Comité Exécutif élu de Feu le Président Sidy Diallo. Et ce depuis Janvier 2021, ce forcing aurait, pour le moins dont on soit sûr, achever de scléroser l'écosystème du football ivoirien en blocs qui, s'ils ne se regardent pas en chiens de faïence en publique, dans les coulisses ne lésinent sur aucuns stratagèmes pour faire mal et couler le ''gens'' d'en face, appliquant à la perfection ce vieil adage bien connu dans certains milieux: si tu n'es pas avec moi c'est que tu es contre moi.

Aux trois parties représentées par les camps des ex candidats à la présidence de la FIF, Didier Drogba, Idriss Diallo et Sory Diabaté est venue se greffer une nouvelle inconnue, compliquant du coup une équation déjà difficile à solutionner: la nébuleuse de Comité de Normalisation dirigée par Dao Gabala, Abé Adou Simon, le Professeur Bléou Martin et Mme Aka. Depuis sa création le 07 Avril 1960, jamais de mémoire d'observateurs ou d'acteurs l'on s'apprêterait à aller assister à une AGO avec autant d'incertitudes sur l'avenir de la maison de verre, avec autant d'appréhensions sur les procès d'intention des uns contre les autres, dans une atmosphère où les positions sont cristallisées et si tranchées; tel qu'on serait en droit de la proclamer, cette AGO, d'une assemblée de tous les dangers.

Au fond, quelle particularité de l'AG du 18? rien d'extraordinaire, sinon que d'aller œuvrer contre la mise à mort lancinante du football ivoirien et de ses acteurs membres actifs au motif fallacieux qu'une simple élection de président de cette même fédération qui a tout de même connu 12 présidents tout au long de son histoire, devrait être le théâtre sinon le laboratoire d'une nouvelle forme de la pensée unique, masquée sous le visage hideux-radieux d'un consensualisme béat, d'un unanimisme réinventée pour être appliquée comme un produit de vitrine proposé et refusé, vanté mais snobé, maquillé puis dévoilé, enfin imposé et mué sous la forme méprisante et humiliante d'un comité de normalisation à la tête du football en Côte d'Ivoire, un pays un temps encore récent adulé, comparé aux standards internationaux qui se pratiquent en Europe.

Les membres actifs de la FIF, acteurs-décideurs du football ivoirien en Côte d'Ivoire (allez comprendre le pléonasme) sauront se montrer lucides, responsables et résolument engagés à sortir de l'impasse CoNor, à amorcer cette ascèse pour regarder vers un horizon nouveau, loin des chants de cygnes qui vocifèrent les voix discordantes et dissonantes pour justifier l'injustifiable. Présidents de clubs de tous bords, Unissez-vous pour Discipliner les impertinents aventuriers dans le football ivoirien pour Travailler à sa grandeur en hissant l'étendard ORANGE-BLANC-VERT plus haut. Toujours...